ANTOINE GIOCOMONI exposition Arles le 05 juillet 2021


Nous voici dans une nouvelle saison d’expositions après
 le raz de marée Covid-19, l’économie touristique et 
culturelle est à l’arrêt …
 Sera ? Sera pas ? Peu importe, nous, nous y serons.


En attendant, l’arrivée de la péniche Gervic, nouveau lieu culturel amarré à Arles ainsi que le première édition du festival « Les lucioles au fil de l’eau ».

Boombop s’installe comme chaque année à Arles, à l’Immeuble Cuit Cuit.

Cette année, d’une certaine manière, cela sera l’édition « avant le lancement de son projet de résidences d’artistes, festival itinérant, à bord de la péniche Gervic, à l’automne 2021ainsi que à terre via l’Immeuble Cuit Cuit.

Notre exposition durera tout le long du mois de 
juillet 2021 à l’Immeuble Cuit-Cuit de Arles, photographie.

Une 
version allégée de l’édition de 2020 annulée pour cause de Covid …
Cette année, exposition photographique de Antoine Giacomoni à
 l’étage, tout le mois de juillet.


… Nico, Lou Reed, Christophe, Robert Smith, Peter Murphy, Etienne Daho, Serge Gainsbourg, Depeche mode, Suicide, Nick Cave, John Lydon …

ANTOINE GIACOMONI est né le 16 avril 1955 à Borgo (Haute-Corse).

Cela fait alors deux ans qu’il a découvert la boîte magique connue sous le nom d’appareil photographique. Inscrit aux Arts plastiques à la Sorbonne, il y reste deux ans.

En 1977, la vague punk lui fait traverser la Manche. Définitivement accroché à son boîtier et à ses objectifs, le jeune nihiliste commence à voyager. Désormais, la musique devient le fil rouge de ses errances photographiques. Et de la révolte urbaine punk à la spiritualité rasta, il n’y a qu’un pas. D’une île à une autre. En Jamaïque, Antoine Giacomoni devient photographe professionnel : premiers reportages.De retour dans la vieille Europe, la technique enfin maîtrisée, le jeune photographe se met à rêver à d’autres univers. Il veut passer à travers le miroir. Alliant le minimalisme (un simple miroir cerné d’ampoules électriques) au glamour de l’âge d’or hollywoodien (chacun devient une star dans ce miroir aux mille feux), le “Mirror-concept” s’impose comme le double du corse exilé. Nico qui chantait “I’ll be your mirror” au sein du Velvet Underground est la première invitée du miroir. Le miroir et son propriétaire s’installent à Londres en 1980. Les “Mirror’s sessions” vont s’enchaîner pendant trois ans.

En 1983, retour de l’enfant prodigue sur le continent. A la galerie des Lombards (Paris), une exposition indéfiniment prolongée le consacre “Wonder boy de la photo Rock”. Un an plus tard, il rentre à l’agence Gamma, puis redevient free-lance.

En 1986, il reçoit un “Totem du Bataclan” décerné par France 3 Télévision pour son invention du “Mirror-Concept”. En 1991, Antoine Giacomoni publie aux Editions La Sirène son premier ouvrage “Portraits à travers le miroir”, fruit d’une décennie de mirror’s sessions, consacrés à des stars internationales. Dès lors, il entreprend un long travail consacré à son île Natale “La Corse à travers le miroir/A Corsica, franchendù ùspechjù” (La Marge Edition – 2002) suivi de trois autres livres aux Editions Horizon Illimité “Nico, ou le drame de l’exil” (2003), “Daho par Giacomoni, the mirror sessions’ parties” (2004), “Reggae / Jamaïca” (2004).

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